James est bizarre. Et comme beaucoup de gens bizarres il a décidé d’en faire une force et d’exprimer celle-ci en art.

James dépose des poèmes mi-cyniques mi-raisin que lui inspirent Nougaro, Oxmo, Solaar ou Vian, sur une musique influencée par la chanson française, le jazz, la soul et le rap. Un subtil mélange auquel il lui donne le nom de chanson dystopique. À travers ce son résolument live, parfait pour le velour de sa voix, il s’imagine un monde tumultueux où le chaos brille par son horreur et sa beauté. 

Premiers degrés s’abstenir, avec James on célèbre cette mort lente qu’est la vie et on exorcise notre spleen. Vous êtes les bienvenus.